La lettre à Papi Moqué
(sur le thème de la lettre à Guy Moquet)
Notre petit Papi aimé,
On va vomir ! ce qu’on te demande, toi, en particulier, notre petit Papi, c’est d’être à la hauteur.
Plus endurant que les Cissous, on ne l’est pas plus que toi
Certes, sobres on aurait voulu rester. Mais, ce que nous souhaitons de tout notre cœur, c’est que notre triomphe serve à quelque chose.
On n’a pas eu le temps de se préparer
On a juste mangé ton chili con carner
Quant au véritable entrainement on n’a hélas pas eu le temps de s’y coller
On espère que nos tenues ne seront pas écharpées par les placages au maillot de ces voyous(e) les Cissous(e).
A toi notre petit papi, si on t’a tout fait, ainsi qu’à ta Brigitte, tu peux nous croire tu vas charger une dernière fois
Sache qu’on a fait de notre mieux pour suivre la voie lactée (comme les rois mages, en Galilée)
Un dernier godet avec tous nos amis Cissous qu’on aime beaucoup.
Même si comme le Racing, les Cissous ! la merde.
18 heures, avec Yves, au Du Manoir, vous n’allez pas regretter, on va vous impacter
On va vomir avec plaisir, désir et envie.
Papi, ce qu’on te demande, c’est que tu nous promettes de consoler tes amis Cissous de la branlée qu’on va leur mettre
On ne pourra pas leur en mettre au-delà de la ligne d’avantage.
On vous laisse les jouer tout seul, avec Pierrot, Titoune et la Guble.